What India Needs to do to Fix the Foundations of its WASH Sector

Ce que l'Inde doit faire pour réparer les fondations de son secteur de lavage

2,4 milliards de personnes à l'échelle mondiale vivent dans des pays stressés par l'eau et environ 4 milliards de lieux de stress hydrique pendant au moins un mois par an. Les perturbations de l'univers mondial d'aide au développement en raison du démantèlement de l'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), ainsi que de la difficulté des marchés des capitaux mondiaux, ont mis l'accent sur la nécessité de réformes intérieures pour relever les défis de l'eau et de l'assainissement en Inde.

Le gouvernement indien est conscient des défis croissants. Dans l'annonce annuelle du budget de l'Union pour 2025-26, le gouvernement de l'Inde a introduit un nouveau Fonds Urban Challenge (UCF) pour revitaliser les services municipaux, notamment l'eau, l'assainissement et l'hygiène (Wash) en soutenant des projets bancables. Cependant, ces investissements critiques sur les infrastructures ne deviendront attrayants que si le gouvernement aborde d'abord deux problèmes fondamentaux de base.

Ces problèmes fondamentaux visent à garantir que les fournisseurs de lavage ciblés sont (1) techniquement et financièrement efficaces; et (2) les régimes administratifs, politiques et réglementaires sont clairs, transparents et mis en œuvre avec intégrité.

Ces interventions critiques sous-tendent les investissements indispensables dans la technologie de l'eau et la durabilité financière. Les problèmes fondamentaux sont également essentiels pour développer des infrastructures de lavage durables. Sans amélioration de l'efficacité et une meilleure gouvernance et des réglementations du secteur, tout soutien supplémentaire par le biais de l'UCF ou d'autres programmes soutenant les services d'eau est très peu susceptible d'attirer des ressources importantes du secteur privé.

Efficacité technique et financière

Le secteur mondial de Wash utilise un ensemble d'indicateurs de performance clés qui mesurent non seulement l'efficacité mais aussi le bien-être ou la santé du secteur. Par exemple, si un fournisseur de services perd 40% de ses actifs en eau par le biais de fuites ou de vols, les chances de nouveaux investissements pour augmenter l'approvisionnement en eau, quelle que soit la technologie ou le financement, échouera.

En Inde, les frais d'utilisation couvrent moins de 50% des coûts d'exploitation, et les revenus qui compensent l'équilibre ne sont pas clairs, prévisibles ou transparents. Le résultat est que les investissements dans les infrastructures d'eau sont approuvés, conçus, construits, puis négligés. Ils tombent par la suite en ruine et doivent finalement être reconstruits, souvent avec de longs retards et des coûts exorbitants. Ce scénario «conception, construction, négligence et reconstruire» se produit à travers le monde et est tout aussi répandu en Inde. Sans une source de revenus stable et prévisible, les investissements soutenus par des programmes nationaux, tels que l'UCF ou d'autres initiatives, seront confrontés au même sort.

Par conséquent, le problème fondamental le plus important pour l'Inde est une source de revenus prévisible. En fin de compte, les décideurs principaux doivent déterminer le mélange entre les deux seules sources de revenus prévisibles soutenant l'eau: frais d'utilisation ou taxes. Il n'y a tout simplement pas d'autres sources de financement à grande échelle et fiables qui soutiennent le lavage. En fait, contrairement à l'énergie, une grande partie de la difficulté est enracinée dans le débat sur la question de savoir si l'eau est un droit humain, avec le besoin implicite de subventions ou une marchandise économique, ce qui implique que les frais d'utilisation devraient couvrir tous les coûts majeurs.

De nombreux pays, dont l'Inde, fournissent des finances publiques pour couvrir les besoins de base en eau. Un montant important de revenus des prestataires de services devrait provenir d'impôts pour cette raison. Mais comme la politique publique stimule les finances publiques dans les soins de santé, l'éducation et la nourriture et fournit également des subventions diesel en Inde, le financement public est limité.

Peu importe comment la politique publique est finalement réglée, il est urgent de couvrir les coûts d'exploitation et les dépenses en capital grâce à une combinaison transparente à long terme de taxes et de frais d'utilisation. L'eau est un investissement à long terme, et le gouvernement et le secteur privé doivent savoir d'où viendra l'argent pour soutenir les opportunités d'investissement et le maintien adéquat des infrastructures. De même, en termes d'efficacité technique, le leadership devrait d'abord se concentrer sur l'amélioration des indicateurs de performance clés critiques mesurant l'eau non revenue, les collections de frais d'utilisation, les chiffres de personnel et les ratios d'exploitation avant de s'engager dans une nouvelle expansion et / ou des investissements. Une façon de renforcer la discipline à la fois de l'efficacité améliorée et d'une meilleure gouvernance et de la réglementation est d'encourager l'utilisation des notations de crédit par des agences de notation réputées qui opèrent à travers le monde.

Créer des cadres de gouvernance transparente et de réglementation

Il est tout aussi important de résoudre les autres problèmes fondamentaux axés sur la création de régimes administratifs, politiques et réglementaires qui sont clairs, transparents et mis en œuvre avec intégrité. Ce n'est pas un problème d'ingénierie ou de financement. Au lieu de cela, ces défis sous-tendent les performances de la main-d'œuvre médiocres, la maintenance inadéquate des infrastructures, les données inexactes, la budgétisation médiocre et l'allocation des ressources et la corruption. Relever ces défis est impératif pour attirer des investissements privés et justifier des fonds publics.

Par exemple, les données opérationnelles et financières de qualité doivent être claires, transparentes, publiques, cohérentes et publiées en temps opportun. Le personnel technique doit être constamment formé, habilité et autorisé à faire son travail sans ingérence politique. Les frais d'utilisation et les normes environnementales doivent être établis et mis en œuvre sans aucune interférence extérieure. La corruption doit être éliminée et une forte approche axée sur les consommateurs, en mettant l'accent sur les clients, devrait être intégrée dans les fournisseurs de lavage. Rien de tout cela n'est facile, mais une approche axée sur le marché des services d'eau exige que ces systèmes administratifs et réglementaires soient clarifiés avant que les prestataires de services ne soient bancables.

Tout effort pour moderniser les infrastructures de lavage en Inde devrait prioriser l'action sur ces deux questions fondamentales pour soutenir les principaux investissements d'infrastructure. L'expérience mondiale démontre que sans améliorer l'efficacité et une meilleure gouvernance et une meilleure administration, aucune somme d'argent ne résoudra les défis en eau de l'Inde.

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